Connaissant très bien Yannick, homme plutôt discret, pour qu'il fasse un papier... et interdise aux agents de le contacter, c'est vraiment que ceux qu'il qualifie de petits hommes, on du vraiment mal lui parler. D'ailleurs vous remarquerez, qu'il ne les cites pas...
quoiqu on en pense sur le fond l'article est bien écrit.
Si qq jockeys ne veulent pas monter mais que c'est reellement une minorité,(et donc que le terrain n'est pas jugé dangeureux par la majorité) qu'on les remplace! Ceux qui font le choix inverse sont grands et responsables. Quand aux jockeys ou autres jeunes de 20-25 ans qui parlent mal a un entraineur dont la reputation n'est pas d'en faire des tonnes, et qui en a 50, c'est une histoire de respect, de politesse et d 'education.tout simplement. Fertillet doit vraiment etre échaudé"...
Je n'étais pas présent à Marseille. J'ai juste pu voir les images d'Equidia. Je crois que tout cela n'est ni plus ni moins qu'une question d'argent. Le peur de perdre une recette pour le PMU et la société de courses, la peur de perdre des allocations pour les professionnels. Que la piste soit lourde n'était pas vraiment le problème. Je pense que le souci essentiel était que cette piste n'arrivait pas à absorber toute l'eau qui tombait depuis plusieurs heures.
Pour autant je ne crois pas qu'on doive choisir entre ARGENT et SECURITE. Les deux sont largement compatibles. Il faudrait bien que France-Galop et les commissaires en général soient plus à l'écoute des risques météorologiques. Les trombes d'eau marseillaises n'étaient pas une surprise, pas plus que celles de Salon de Provence, qui ont conduit à un transfert à Cagnes et pas plus que la réunion tempétueuse de Pau de la fin janvier, qui aurait raisonnablement pu être décalée de 24 heures (pour assurer la sécurité totale des acteurs et surtout l'arrivée de tous les concurrents). L'hiver que nous connaissons est excessif (tempête dans le sud ouest, inondations ou fortes pluies dans le sud est, gel très fort en Normandie). On ne peut rien faire face à cela. Par contre, au XXI° siècle, on dispose d'outils modernes pour prévoir (alertes météo), transférer (sur les PSF) ou en dernier recours, trouver une réunion de remplacement (comme cela a été fait pour suppléer Deauville cet hiver) et ainsi assurer les recettes ET la sécurité. Seulement voilà, l'anticipation est encore difficile.
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Déplorable ! ! !
